Tagazok à toi mon frère !

Paix et guérison sur ton peuple, voyageur de l'internet. Tu peux toujours t'arréter ici quelques minutes, tu es le bienvenue !

jeudi, avril 20, 2006

guten tag (enfin, bonjour en allemand quoi...)

Guten tag à vous tous en ce jeudi 20 avril.

Je sais, vous vous demandez tous pourquoi ce sursaut germanique dans ma création bloguesque du jour. Sursaut toutefois limité à cause du peu de connaissance de cette charmante langue. Car, au risque de passer pour un extraterrestre, j'ai toujours trouvé la langue allemande particulièrement sexy. Ne me demandé pas pourquoi, c'est comme ça. Si j'apprend l'espagnol aujourd'hui, ce n'est pas parce que je l'ai choisi ; mais c'est contraint et forcé. En effet, ma mère m'a imposé ce choix alors que j'étais encore un jeune et frèle enfant en 5ème, en utilisant des méthodes que même Franco n'aurai pas osé utiliser ; comme par exemple la menace du "privé de dessert !" qui a fait céder plus d'un enfant au monde, et dont moi, je le confesse ici.
Pourtant, j'ai toujours été fasciné par l'Allemagne. J'étais admiratif de ce pays qui avait été complètement détruit pendant la guerre, ruiné, découpé ; et qui pourtant a réussi à se hisser au rang de puissance industrielle majeure de la planète. Mais ce n'est pas tout ; les allemands ont un mode de vie que j'apprécie tout particulièrement. Tenez, juste un truc bête, ils ont été parmi les premiers au monde à se soucier de l'écologie ; rien que ça, c'est une preuve de l'intelligence des Allemands. Mais ce n'est pas tout. Outre leur économie, leur soucis pour l'environnement, la fête de la bière à Munich, mais aussi Heidi Klum et Claudia Schiffer ; les allemands ont : les téléfilms allemands !!!

Attention, je vous parle des téléfilms ; pas des feuilleton du genre "Derrick" ou "Rex" qui passent généralement sur FR2 ou TF1. Non, là je vous parle du téléfilm allemand par excellence, celui qui passe sur M6, juste après mangé. Celui où dès que tu zappes dessus, tu ne peux t'empécher de rester jusqu'à la fin. Mais ce qu'il y a de bien surtout dans ces téléfilms, c'est que ça se fini toujours bien. Et au risque de passer pour une fiotte, un PD, ou tout autre qualificatif à connotation péjorative, j'adore ça. J'ai un coté fleur bleue exacerbé, je n'y peux rien, c'est comme ça. Mais revenons au téléfilm d'hier.
Nous étions donc entre frères et soeur hier midi, atablés devant la télé, à regarder les infos de la 2, avec une délicate odeur de pâtes qui nous montait au nez, tendi que nos estomac continuaient à se remplir. Une fois ce repas terminé, mon frère decide de monter dans sa chambre, ma soeur de rester devant la télé, et moi de me faire chauffer un thé menthe (pour digérer) et de fumer une cigarette. Une fois la cigarette fini et le thé préparé, je décide alors d'aller le boire avec ma soeur, avant d'aller faire la vaisselle GARGANTUESQUE que mon père m'avait laissé le matin même à faire. Et là, je suis tombé devant le piège du téléfilm allemand : tu y es, tu y restes ! Heureusement que la pub m'a permis de me déconecter de l'écran de la télé, sinon la vaisselle serai toujours dans l'évier. Mais attendez que je vous raconte l'histoire.
Dans un lycée (en Allemagne bien sur), une jeune fille de 17 ans mal dans sa peau se désespère d'avoir un jour sa première relation sexuelle. Sa meilleure amie a beau la rassurer, rien n'y fait. Il faut dire aussi que cette pauvre fille a une famille complètement dérangée : ses parents sont divorcés, son père tient une agence matrimoniale, tandis que sa mère tient une agence dont le but est de prouver ques les maris sont infidèles... vous voyez le tableau. Mais la vie de cette fille va basculer quand arrive dans sa classe un nouveau : une gravure de mode ! Forcement, elle veut perdre sa virginité avec ce mec, mais sa mère va tout faire pour l'empécher. Bref, je passe sur les détails, mais il est bon de savoir que finalement cette fille va vivre une histoire d'amour passionée avec sa gravure de mode et elle se sera plus vierge, mais aussi ses parents vont se remettre ensemble, et enfin que la meilleure amie de la fille est devenu lesbienne. Donc, comme vous le voyez, tout est bien qui fini bien. Et c'est ça qui est bon en Allemagne.

Deux cette expérience du téléfilm allemand, je retiendrais plusieurs choses.
Tout d'abord, les lycées allemands sont super fashion, et ça donnerai presque envie d'aller étudier là-bas.
Deuxièmement, les allemandes sont canon ! Attention, je reste objectif, je sais bien qu'il s'agissait d'un téléfilm, donc évidement on prend pas des boudins pour tourner dedans, mais la teutonne est quand même bien mignonne. Cependant il est dommage que la plus canon du téléflim est été lesbienne, enfin, si ça se trouve c'est juste un role.
Enfin, et surtout dirai-je, le plus important est que la gravure de mode a du bide !!!!!!! Quand j'ai vu ça j'ai sauté au plafond. Attention, c'est pas que je sois complexé ; c'est juste que j'aime bien manger, j'adore la bière, alors forcement, si j'avais le choix, j'aimerai beaucoup perdre la petite bouée qui me ceinture (elle est vraiment petite dans le genre bouée, je vous le jure !!!). Donc, même les gravures de mode ont du bide. Et bas rien que pour ça, je regrette pas d'avoir regardé ça avec ma soeur.

Voilà, les allemands remporte une nouvelle victoire et ne font que grignoter l'estime que j'avais jusque là pour les espagnols. Le peuple ibère peut s'en faire.... Si ça continue comme ça, bientot je n'aurai plus d'estime pour lui, et l'Allemagne aura tout raflé. N'empêche que si je pouvais faire marche arrière, j'aurai choisi allemand en LV2. Mais vous pouvez être sur que ça ne m'empêchera pas d'aller en Allemagne un de ces quatre...



PS : promis, je me remet aux articles sérieux bientot, mais mon envie de vous faire partager les téléfilms allemands a été plus forte que tout.

mercredi, avril 19, 2006

On s'embête un peu.......... Qu'est-ce qu'on s'emmerde !

Et oui, il n'y a pas à dire, on s'emmerde parfois dans la vie, et tout particulièrement en voiture. Laissez moi vous raconter. Après, c'est promis, je vous parle d'un truc sérieux.

Je ne vous apprendrais rien en vous disant que nous sommes en vacances depuis vendredi. Là où j'apporte un truc nouveau, c'est quand je vous dis que je suis parti en week-end en famille, avec toute la ptite tribu Zuber, à savoir : mon poupoute adoré (papa), la petite (ma mère), ma chouchou d'amour (ma soeur), et le gros con (mon frère). Je tiens à préciser que tous ces surnoms sont véritables, vous pourrez demander aux personnes concernés. Bref. Donc, une fois ma soeur rentré de Dijon, nous montons tous en voiture, direction la Normandie. Mais attention, pas n'importe qu'elle Normandie : la vraie, la haute, là où les vaches sont accueillantes, là où le climat tempéré et humide me convient à la perfection. Enfin bref. Nous étions en chemin vers la maison grande-maternelle quand ma soeur s'exclame : "on s'embête un peu...", ce à quoi je lui rétorque : "qu'est-ce qu'on s'emmerde !", en hommage la la chanson de Marcel et son Orchestre. Il faut vous dire quand même que le trajet dure pas loin de 3h30, que c'est sur un autoroute quasi-droite, et que la musique que ma mère avait choisi de mettre dans la voiture n'étais pas des plus entrainante. C'est alors à ce moment là que ma soeur, dans un éclair de lucidité propose de se faire une partie de Kamoulox. Mais oui, vous connaissez tous ce jeux rendu célèbre par Kad et O. Après plusieurs parties où personne n'a réussi à réellement prendre l'ascendant sur les autres, nous sommes finalement arrivés au pont de Tancarville, il était alors temps pour nous d'arréter nos bétises et de redevenir sérieux avant d'embrasser Mamie...
Tous ça pour dire que j'ai passé un bon week-end, mais que je m'étendrais pas plus sur le sujet, ça ne vous intéresse surement pas.


Comme promis, voici donc la partie sérieuse de cet article.
J'ai fais un rêve.... Attention, ça n'a rien à voir avec Matin Luther King. Non, j'ai juste fais un rêve sur quelqu'un. Par pudeur, par discrétion, je ne révèlerai pas son nom ici. Il s'agit juste d'une personne que j'adore. Enfin bref, ce n'est pas ça l'important.
Non, ce qu'il y a de marrant, ou plutot d'interessant, parce qu'en fait, c'est pas drole du tout, c'est que j'arrive à faire l'auto-analyse de mes rêves. Attendez, je vous explique.
Je suppose, en tout cas pour ceux qui sont en terminale ou qui sont déjà passés par là, que vous avez tous lu ou au moins étudié Freud. Vous connaissez donc tous la théorie de la psychanalyse, et l'importance des rêves. Petit rappel : les rêves sont la voie royale vers l'inconscient, les rêves contiennent le refoulé, qui n'arrive à s'exprimer que quand nous dormons, quand nous n'avons plus aucun controle sur nos émotions et nos pensées. Voilà pour la partie théorique, qui lance mon propos.
En me réveillant, et donc en mettant fin du même coup à ce charmant rêve, deux pensées me sont venues à l'esprit. La première, directement en relation avec mon rêve et avec l'analyse fulgurante et sans doute incomplète que j'avais faites en l'espace de 3 secondes. La seconde, en rapport avec la philosophie, et ce que ça avait pu m'apporter tout au long de cette année.
Qu'il me soit permis de ne jamais évoquer ma première pensée ici. Ce que j'aurai à dire à ce sujet ne concerne que la personne de mon rêve. Peut-être que je lui en parlerai un jour, sans doute avant de partir de Tours (chose que j'espère par dessus tout).
Par contre, rien ne m'empêche d'évoquer ici plus en détails ma deuxième pensée.
La philosophie. Tout le monde en a, rien qu'à l'évocation du terme même, une vision péjorative ; et moi le premier. En fait, pour être honnête, du peu que je connais, j'adore la philosophie, mais je n'aime pas les philosophes. Je citerai ici Manu Larcenet qui dans sa BD "le combat ordinaire" (que je conseille à tout le monde) disait : "on peut admirer le travail de l'Homme tout trouvant horrible l'Homme" ; enfin un truc du genre. Pour revenir à mon rêve donc, je dirai que Freud a sans doute vu juste sur l'interprétation de certains rêves, mais en ce qui concerne sa théorie pansexualiste, là c'est une autre histoire. Seulement, si je n'avais pas la chance d'être dans un pays où la philosophie est enseignée en terminale ; jamais je n'aurai su celà.
La philosophie est sans doute la matière qui m'a la plus intéressée cette année. Alors certes, à la base, je partais pas avec un avantage. Rien qu'en voyant qui allait être mon prof toute l'année, j'aurai pu me décourager, et rester sur mes idées préconçues. Non, j'ai tenté de m'interessé, ça a marché, et aujourd'hui je ne compte plus le nombre de fois où je me trouve dans une situation où je "philosophe". Je pense juste qu'il y a une chose de domageable pour cette matière ; c'est le manque d'ouverture d'esprit des philosophes ou des profs de philosophie. Il s'agit pourtant de la matière qui par excellence est censé nous ouvrir l'esprit ; et on se trouve souvent confronté à des personnes qui ne "cherchent pas à discuter, mais juste à nous prouver qu'on a tord", pour reciter Manu Larcenet.

Enfin, mon expérience de philosophie de cette année, je pense que je peux en tirer une chose essencielle : la faculter de comprendre les phénomènes qui ne relèvent pas purement de la science, et qui ont pourtant une signification ; comme par exemple, mon rêve de cette nuit.

mercredi, avril 12, 2006

Ici Ballan : Vincent parle à ceux qui l'écoutent encore...

Je sais ce que vous allez : enfin un nouvel article ; ou bien : oh non, encore un... Bref, ça dépend de chacun d'entre vous.

Et oui, comme certains d'entre vous me l'on fait remarqué en aparté, ou ici même ; ça fait un bail. Et oui, tellement longtemps que même Petre (désolé pour l'orthographe, mon clavier n'est pas tchèque) m'a demandé si j'avais arrété d'écrire. Mais non, rassurez vous, ou désespérez vous, je ne suis pas mort, et je compte bien continuer à écrire.

Pour expliquer mon long silence, je dirais qu'il est le fruit d'évènements aussi bien indépendants que malheureux. Premièrement, il se trouve que la semaine dernière, mon poupoute (comprenez papa, pour les non-habitués) avait décidé de prendre une semaine complète de vacances, ce qui a eu pour conséquence directe de me bloquer l'accès à l'ordinateur le plus performant de la maison. N'ayant pas eu envie de passer 3 heures à écrire un article sur la vieille radasse de PC à mon frère, je me suis résigné, l'âme en peine, à passer la semaine dernière dans l'e-mutisme. Mais maintenant qu'il est reparti enrichir sa boite, et du même coup, le pays, qui grâce à cet argent pourra payer la retraite de mes grand-parents, je peux à présent allégrement écrire sur ce blog. Deuxièmement, les 2 dernières semaines ont été dures. En effet, DS de biologie, DM de physique-chimie et DM de math ; se sont chargés de remplir ma semaine dont le temps libre laissé par l'abandon forcé de mon blog risquait de me laisser le temps de me reposer... Ces différentes obligations ont tellement bien rempli leur rôle de "bouche temps libre" que ça a même bouché le temps qui n'était pas libre, ce qui m'a contraint à repousser certaines choses que j'avais prévues, et donc, de fil en aiguille, à repousser l'heure du prochain article.
Mais le temps est maintenant venu pour moi de me remettre en selle.

Durant les quasi 2 semaines de silence, marquées par un message quelque peu austère samedi, il s'en est passé des choses. Outre le travail scolaire déjà abordé ci-dessus et sur lequel je ne m'étendrais pas plus, 3 grands évènements ont marqué ces 2 semaines.

Tout d'abord, j'ai trouvé du boulot pour cet été !!! Grâce à ma super maman qui travail à la chambre de commerce et d'industrie de touraine, j'ai trouvé le bon filon. En effet, mercredi dernier, ma mère rentre à la maison, comme à son habitude vers 20h. Après s'être goulument bécotté avec mon père, chose qui me parait on ne peut plus répugnante à leurs ages respectifs (46 pour mon père et 44 pour ma mère), v'la ti pas que ma mère rentre dans le salon où je tentais d'écouter les infos, en faisant un boucant du diable à l'aide de ses santiags. Après m'avoir gratifié d'un bizoo comme seule une maman sait les faire, elle me sort : "dis moi Vincent, tu cherches toujours un boulot pour cet été ?". Là j'avoue avoir marqué un bref mouvement de recul de la tête, caractéristique d'un certains étonnement. En effet, j'ai déjà convenu avec elle que je travaillerai à la chambre de commerce avec elle. Avec tout le tact qui s'impose, je lui demande alors : "pourquoi ?". Puis elle me raconte que durant sa journée, elle a rencontré un chef d'entreprise du BTP, secteur d'activité dans lequel je compte m'engager. Ce brave homme serai, parait-il, tout près à m'engager pour cet été. Elle me refile alors sa carte avec ses coordonnées, en m'ordonnant de lui téléphoner le plus vite possible. Tout content de pouvoir décrocher un boulot d'été dans le secteur d'acitvité qui m'intéresse, je m'exécute le surlendemain, et téléphone à ce brave homme. Après avoir téléphoner 3 fois en l'espace de 30 minutes (la 1ère fois il était pas là, la 2ème fois la standardiste m'avait mit en relation avec un mec qui lui même voulait parler au mec que je cherchais à joindre, la 3ème fois c'était la bonne), je fini par avoir le monsieur au téléphone. Un homme charmant avec qui je reste pendant 5 10 minutes, le temps de se fixer un RDV, pour aujourd'hui. Aujourd'hui donc, je me suis rendu chez ce P-DG de PME (désolé pour le langage technique) à 16h, à Ballan, et à vélo. Après de sommaires présentations, nous rentrons dans le vif du sujet : un boulot d'été, du 3 au 28 juillet, payé le SMIC, durant lequel je ferai du chantier et du bureau. Le paradis. Et pour clore ce sujet, je citerai Forrest Gump, philosophe du XXème siècle, qui disait : "tant mieux, voilà un souci en moins...".

Deuxième fait marquant de ces 2 semaines : je suis admissible à l'ESITC !!! J'en ai parlé ici même brièvement samedi. Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, il s'agit d'une des écoles à laquelle j'ai postulé en début d'année. Grâce à mon boulot, fourni de manière constante et efficace depuis le début de l'année, mon dossier les a intrigué. J'ai donc, tel un spermatozoïde, franchi le premier obstacle de ma quête. Il me reste encore un deuxièment obstacle à franchir, et non des moindres : l'entretien ! Et oui, cet épreuve que tout le monde redoute, qui peut faire basculer toute une vie. Vendredi, ce sera mon tour. Une sorte de rite de passage, une fois cette mission accomplie, je serai enfin un vrai homme. Donc, celà signifie un rasage impeccable jeudi soir : aucun poil ne sera épargné, cependant, il serai dommage d'arriver là-bas avec un pansement sur la joue, donc la plus grande prudence est de mise. Vendredi, avant de prendre le volant, un petit déjeuner frugal, et la tenu classe, mais sans en faire trop (je pense à mon jean de fashion et à une simple chemise, peut-être une veste). Ensuite, direction Olivier, mon compère d'école d'ingénieur, et enfin, c'est parti pour Caen ! Une pause déjeuner au Mc do local n'est pas à exclure, cependant, il serait du plus mauvais effet de vomir mon déjeuner à cause du stress, ce sera donc un simple salade. Un compte rendu sera fourni vendredi soir si je rentre pas trop tard.

Enfin, troisième évènement important : mon papy est parti !!! Et oui, l'acro de la randonnée pédestre est parti samedi soir de sa Normandie natale pour se rendre au Puy en Velay, afin de faire pour la 4ème fois le pélerinage mythique le Puy en Velay - St Jacques de Compostel. Au bas mot, 3 mois de marche à pied l'attendent, malgré un blessure à l'épaule qui le fait quelque peu souffrir. Je l'ai eu aujourd'hui même au téléphone, en l'espace de seulement 3 jours, il a déjà eu tous les temps possible : la neige, le givre, la pluie, le vent et le soleil. Sacré papy, ça c'est du courage. Essayez vous, au lieu de rigoler, de marcher pendant 3 mois dans des conditions aussi pénibles (il fait parfois jusqu'à 35°C en Espagne en mai), avec 20 kilos dans le dos, en pleine montagne, pendant parfois plus de 8 heures par jour. Il a beau avoir 70 ans et moi 18, je crois que je serai bien incapable de le suivre, ne serai-ce qu'un mois. Bref, je l'admire, et je l'aime très fort.

Voilà, c'était un petit condensé de ce que je n'ai pas eu le temps d'écrire durant les 2 semaines passées. Dès vendredi soir je suis en vacances, je passe le week-end de Pâques avec ma mamie et ma ptite tribue ; ensuite, je commence les révisions du bac. J'ai aussi d'autres projets, tels que répéter dans la cave à Antoine, et faire la chouille, et surtout faire la désormais traditionnelle sortie en ville avec ma soeur et mon frère. Mais bon, tout celà sera relaté ici même. Sur ceux, je vous laisse, et à très bientot.

samedi, avril 08, 2006

Plus rapide que le TGV : moi !!!

Après un long moment d'absence, me revoilà. Hélàs, pas pour longtemps.

La conjoncture cette semaine a été très mauvaise pour mon blog : entre les DS et DM à répétition et un père en vacances qui passe son temps sur le PC, et par conséquent qui m'empêche d'y être, on peut pas dire que j'ai vraiment fait avancé le bouzin. Enfin bref.

Là, mon poupoute fait la sieste, me laissant donc le temps d'écrire ici quelques lignes avant d'aller à une compétition de judo départementale par équipe. Juste pour tenir informé ceux que ça intéresseré. J'ai été déclaré admissible à l'Ecole Supérieur d'Ingénieur des Travaux de la Construction. Par conséquent, je passe donc mon entretien vendredi à 13h30 à Caen.

Sur ce, je vous laisse, mon Kimono m'attend.

En espérant revenir très vite sur mon blog, je vous embrasse très fort tous...

samedi, avril 01, 2006

En direct live de chez Daminou

Salut la compagnie.

Je suis désolé de ne pas avoir publié hier mon article "friday wear", mais j'avais à faire. Comprenez par là que j'avais passé une bonne partie de la journée à parler avec des amis, et que nous avons agrémenté cette conversation d'échantillons dégustatifs de bière et de différents parfums de narguilé. Evidement donc, je n'étais pas très disposé hier à écrire. C'est donc avec un jour de retard que je publie mon article "friday wear".

Article d'autant plus inédit que c'est la première fois depuis la création de ce blog que j'écris depuis un autre lieu que mon chez moi adoré. En effet, je vous écris en direct live de chez Daminou Soyez, où il régne une ambiance toride. En effet, Damien se charge de mettre le feu avec sa guitare pendant que j'écris dans le confort douillet de sa chambre. Entre "Zephir song" des Red Hot Chili Peppers et "Horse with no name" de America, je prend le temps de profiter.

Et oui, on ne pense jamais assez à prendre le temps de profiter de moments tout simple comme celui que je vis en ce moment. Je suis calé chez un excellent pote qui joue de la gratte, j'ai le sac rempli des courses que nous venons de faire avec mon compère, et nous sommes sur le point de partir chez un autre pote où nous allons encore en retrouver d'autres, avec qui nous allons passer la soirée à causer, à glandouiller, voir même, à regarder le grand prix de Melbourne en direct, où Alonso va encore cartonner au volant de sa Renault. Et oui, la vie est courte, et c'est de ces moments là entre autres qu'il faut profiter. Ce n'est sans doute pas les moments qui comptent le plus dans une vie, mais c'est à l'évidence les moments les plus indispensables, car ce sont ceux qui nous permettent de nous sentir vraiment humain. Sartre a beau dire que "l'enfer, c'est les autres", je reste persuadé du contraire. On se construit à l'aide des autres, on se connait à l'aide des autres, et on apprécie souvent certains moment qu'avec les autres.

Par exemple, en ce moment, Damien vient de faire les premiers accords de "Money for Nothing" de Dire Strait. Et bien je suis persuadé que ces quelques accords, je ne les apprécierai pas autant si que les entendais seul dans un salle de concert avec le vrai groupe. C'est pourquoi je ne dirai qu'une chose : profitons, on se fait déjà suffisament chier le reste du temps...

Dans un tout autre registre, et un peu moins "friday wear", j'ai fait un point aujourd'hui sur mes inscriptions en tout genre (écoles d'ingénieur, IUT), et bah je dois dire que c'est un vrai merdier. Franchement, on a pas idée de faire des trucs aussi compliqué. Je me demande même si ce n'est pas aussi compliqué uniquement pour décourager certaines personnes, et pour qu'ainsi les pôvre secrétaires aient moins de travail.

Ainsi donc s'achève cet article. Je retourne à la musique avec Daminou, et vous souhaite à tous de passer un excellent samedi soir.