Tagazok à toi mon frère !

Paix et guérison sur ton peuple, voyageur de l'internet. Tu peux toujours t'arréter ici quelques minutes, tu es le bienvenue !

dimanche, juillet 30, 2006

Que d'émotion

Vous n'êtes pas sans savoir que le temps passe à la même vitesse tous les jours.
Ainsi donc, les jours, les mois et même les années, s'écoulent à la même vitesse, quelque soit la date, l'heure, et même le lieu où l'on se trouve sur la planète. Pourtant, j'ai vraiment l'impression que ces trois derniers jours se sont écoulés à une vitesse folle. J'éprouve une légère sensation de vertige, une peu comme si je roulais sur un circuit avec une F1, complètement grisé par la sensation de vitesse.
Il faut vous dire quand même qu'en l'espace de seulement trois jours, j'ai terminé mon mois de travail dans la société de BTP ATS, j'ai retrouvé mon frère qui était parti en Angleterre depuis deux semaine, et j'ai fété, légèrement en avance je vous l'accorde, mon anniversaire aujourd'hui avec toute ma petite tribu. De plus, cette surcharge émotionnelle est doublée d'une certaine saturation sanguine d'alcool, ce qui n'est pas pour aténuer ma sensation de vertige provoqué par la surcharge émotionnelle cité ci-dessus. Cependant, je tiens à m'expliquer plus en détails sur ces différents évènements. Une fois de plus, je vous ferai une brève reconstitution dans l'ordre chronologique.
Vendredi donc, je finissais mon mois de travail chez ATS. Je ne peux pas franchement dire que ce fut l'expérience la plus passionante de ma vie ; par contre, je peux vous assurer que ce fut sans doute l'expérience la plus enrichissante de toute ma vie. J'ai appris à me servir de plein d'outils, j'ai appris à aiguiser mon intelligence pratique, j'ai appris à résoudre des problèmes, j'ai appris à m'adapter. J'ai même appris à supporter mon chef con. A l'évidence, ce mois de travail restera sans doute dans les anales de ma vie professionnelle. Ce mois de travail c'est en plus conclu sur une note très positive, puisque mon patron avait organisé un grand repas le midi rassemblant tous les employés, intérimaire compris. A ce moment là, j'ai compris d'où venait la réputation d'alcooliques pour tous les mecs du BTP. Dites vous quand même qu'à 25, rien qu'à l'apéro, pas moins de quatre bouteilles de Ricard, deux de whisky, une de mousseux et une de rosé ; ont été descendu par tous ce petit monde. Le reste du repas a lui aussi été très sympa et très arrosé. Je suis finalement parti à 17 heures, après avoir chaleureusement remercié tous les monde, en particulier mes chefs, mon patron et le gars qui a bossé avec moi tous le mois. Résultat de tout ça, je me suis réconcilié avec mon chef con, j'ai conclu un accord de principe pour faire chez eux mon stage ouvrier obligatoire d'un mois l'année prochaine, j'ai gagné aussi un polo, un briquet, et une paire de chaussures de sécurité. Bref, un mois qui me laissera des marques, notamment aux mains ; mais aussi beaucoup de souvenirs, bons comme mauvais. Mais aucuns regrets.
Le samedi a lui aussi sujet à l'émotion et à l'alcool, puisque j'ai retrouvé mon petit frère (sans qui je m'ennuie quand même un peu). La tribu Zuber a donc été réunie hier matin. Pour marquer le coup, nous décidâmes de prendre un apéro familliale fort agréable, sauf peut-être pour mon foie. Le soir venu, tradition oblige, nous sommes sortis en ville juste entre frères et soeur. Là encore beaucoup de souvenirs, de musiques, de rires, et de bobo au foie, mais pour rien au monde je ne perdrai ces moments privilégiés avec ma chouchou et mon morveux de frère.
Enfin, aujourd'hui, jour qui restera gravé à tout jamais dans mon esprit. Pour ceux qui ne le sauraient pas, je suis né le premier Aout 1988, or le premier tombe cette année un mardi, ce qui empêche de féter mon anniversaire en famille. Qu'à celà ne tienne, mes parents avaient donc décidé de le féter aujourd'hui. C'est ainsi qu'à 11h30 mon père fait irruption dans ma chambre, me demandant de me lever pour aller au restaurant. Attention le restaurant : nous nous sommes retrouvé au Grand Vattel, restaurant deux étoiles de Vouvray où nous nous sommes régalé. Après une vin moelleux en guise d'apéritif (rebelotte pour le foie), vint l'entrée : un foie gras poché au vouvray. Un ravissement des papilles, je ne voit pas d'autre mot pour définir ce que j'ai ressenti ; sans compté que mes parents avaient choisi pour agrémenter ce foie gras un vin blanc demi-sec, un petit vouvray de 1988, aussi vieux que moi donc : le petit Jésus en culotte de velours... Vint ensuite le plat : une pavé de boeuf saignant, là encore accompagné d'un vin rouge sublime : un Pommard 1988. Décidement, l'année 88 a été une excellente année ! Ensuite, un plateau de fromage absolument fabuleux, je n'ai que rarement vu autant de fromages les uns à coté des autres. Là encore, mon palais fut le siège d'un véritable feu d'artifice. Enfin, le dessert, une tarte aux fraises, exactement comme je les aime ! Je crois pas avoir un jour mangé aussi lentement que ça tellement c'était bon. Mais attendez, ce n'est pas tout. Mes parents avaient une surprise pour moi, et pas des moindres : un PC portable tout neuf, tout paramétré, près à l'emploi. Mon frère a achevé ce tableau en m'offrant une tee-shirt Guiness (sans doute ma bière préféré). Après m'être répendu en remerciement et en embrassades en tous genre, je me suis dit que ça y est, les choses sérieuses commencent : je travaille, je suis majeur, je pars de la maison, bref, tout ce pour quoi j'ai été éduqué par mes parents arrive enfin. Tout est arrivé si vite, le bac, le boulot, la majorité. Une spirale infernale vient de s'abattre sur moi, et je n'ai pas l'impression qu'elle veuille me lacher de sitot. Cette spirale, c'est peut-être tout simplement le temps... En tout cas maintenant que j'y suis, j'ai du mal à réaliser, ça veut dire qu'aucun retour en arrière n'est possible : j'y suis, j'y reste, j'avance. C'est peut-être ça la vie finalement : se laisser porter par le temps.

lundi, juillet 17, 2006

En bref

Bonjour à tous.
Aujourd'hui au programme, quelques brèves et en article un peu plus long sur la situation actuelle au moyen-Orient.

Mes parents sont en vacances ; forcement comme ils se voient plus, ils ont plus de temps pour s'engueuler : cimer l'ambiance, putain de vacances (merci le front pop'), encore heureux que moi je bosse. A noter la super relou-attitude de mon daron tout de même.

Mon père a eu ses 46 ans dimanche. Etant passionés de F1 et profitant de son anniv', nous sommes allés au grand prix de Magny-Cours. C'est dingue la vitesse à laquelle les bagnoles vont, et le bruit aussi. Très belle journée malgré la chaleur ; à vivre au moins une fois dans la vie pour l'ambiance car on suit mieux à la télé.

Ma soeur m'a amené faire les soldes samedi, résultat des courses on a une chemise, un bermuda, et surtout une paire de sandales. Et moi qui avait horreur de ça il y a encore quelques petites années.

Ma soeur (toujours elle) m'a enfin épilé le torse vendredi soir. En fin de compte, ça fait pas trop mal. Par contre je suis encore rouge, ça m'apprendra à faire des paris stupides.

Des vacances en Vendées sont prévus, tout s'est décidé vendredi soir. Il ne reste plus qu'à trouver un camping, et à nous la liberté !

Comme moi, vous avez surement vue à la télé les images du bombardement de Beyrouth par l'armée Israëlienne. Je suis sur que vous n'avez pas tout suivie de ces évènements compte tenu du fait que "l'affaire Zidane" a monopolisé pendant un bon moment les médias. Je fais un bref résumé de tout ça. Tout commence dans la bande de Gaza quand des mouvement terroristes proches du gouvernement Palestinien du Hamas, prennent en otage un caporal Israëlien. L'armée décide alors de lancer une vaste opération poétiquement appelée "pluie d'été" pour retrouver son caporal : les chars entre dans la bande de Gaza, les Israëliens prennent à leur tour en otage les membres du gouvernements Palestiniens du Hamas en otage, des batiments (maisons, transformateurs électriques, etc...)des civils sont tués, et l'esprit de vengeance est ravivé chez les palestiniens alors que la situation était globalement plus calme ces derniers temps. Bref un beau gachis à la suite d'une riposte disproportionnée de la part des Israëliens. Mais ça ne s'arrête pas là, le Hezbollah (groupe terroriste Chiite implanté au sud-Liban) décide, sans doute par solidarité avec les palestiniens, ou pour montrer une alliance avec le Hamas, ou tout simplement pour faire délibérement s'embraser la région, ce groupe décide donc d'attaquer en territoire Israëlien une patrouille militaire, tuant 3 soldats et en prennant 2 en otages. Bien sur, Israël lance des représailles et bombarde le Sud-Liban (tuant, en plus des terroristes, pas mal de civils). Jugeant qu'on risque de les prendre pour des couilles molles, les Israëliens pousse jusqu'à la capitale Libanaise : Beyrouth, qui n'avait plus connu ce genre de bombardement depuis les années 80. Résultat des courses : pour au total 6 soldats Israëliens enlevésou tués, on se retrouve avec une jolie guerre en préparation.

Le plus aberrant dans tout ça, c'est qu'il est de notoriété publique que le Hezbollah est complétement indépendant du pouvoir Libanais (c'est en quelque sorte une mafia religieuse géante). De même, tout le monde sait que le Hezbollah ne vie que grace au financement des Etats voisins tels que la Syrie et l'Iran. Si monsieur Olmert tient tellement que ça à mettre fin au terrorisme du Hezbollah, il n'a qu'à attaquer la Syrie et l'Iran, mais qu'il n'aille pas faire chier le Liban, pays qui sort tout juste d'une période de crise avec son voisin Syrien (qui avait tendance à considérer le Liban comme une province Syrienne) et qui commençait à s'en remettre, pour preuve, il y avait des touriste il y a encore quelques jours au Liban... Autre chose aberrante : il y a des casques bleus à la frontière Israëlo-Libanaise. Quand l'ONU cessera-t-elle de jouer la jeune vierge effarouchée face aux problèmes dans le monde ? Il serait grand temps que les pays composant l'ONU prennent leurs responsabilités et tapent du poing sur le table en autorisant les casques bleus à maintenir, même de force, l'intégrité territoriale du Liban, ET d'Israël. N'est-ce pas là la vocation même de l'ONU ? Encore un petit truc tant que j'y pense ; qui vend les armes à Israël et au Hezbollah. Réponse, Les USA pour Israël ; et l'Iran et la Syrie (qui achètent eux même leurs armes à la Russie) pour le Hezbollah. Donc il serait sans doute bon de commencer à se poser aussi ce genre de question.

Pour conclure, on peut donc dire que la situation reste très tendu et ne risque pas de se débloquer rapidement : les deux camps sont montés tellement vite et fort en puissance qu'arrêter maintenant serait un aveu d'échec : la guerre continue donc. De plus, la situation peut encore empirer (si si, je vous jure !). Si par malheurs un dommage colatéral (faute de tir par exemple) venait à toucher la Syrie, ce pays risquerait de rejoindre le conflit ; l'Iran serait alors tenté de faire de même. Face à deux ennemis aussi puissants, Israël, puissance nucléaire je me permet de vous le rappeler, pourrai peut-être faire usage de son gros pétard... Il s'agit là du scénario catastrophe, mais qui sait, vu la disproportion de la réponse Israëlienne, je ne serais pas étonné si ça devait arriver. Dans tous les cas, il n'y aura aucun vainqueur dans cette guerre : le terrorisme vivra toujours, même si il doit se cacher dans des caves, Israël sera toujours là. Seul les civils des deux camps vont encore mourrir, c'est tout. Sur le plan médiatique en tout cas, il est évident qu'Israël a déjà perdu la bataille de l'opinion publique mondial. En même temps, comme ils n'en ont rien à branler... Mais j'avoue que sans être anti-Israëlien, j'avoue que là ils font vraiment chier.

En attendant une évolution de la situation, je vous dit à bientot !

mardi, juillet 11, 2006

Robin des bois, c'est moi !

Autant vous le dire tout de suite, bien que je fasse un boulot à la con et super fatigant, je ne suis toujours pas mort, et pas près d'abandonner.
Passons.

Aujourd'hui, j'ai encore ajouté une corde à mon arc au boulot.
En effet, après la meuleuse (grande et petite), le rabotage de tuyaux, le petit chariot de levage, et encore tout un tas d'autres outils que je ne connaissais même pas de vue, mais que j'ai appris à utiliser ; aujourd'hui je me suis attaqué au : Manitou !
Imaginez un gros tracteur accouplé avec un chariot de levage, vous obtiendrez le Manitou. Prouesse de technologie assurement. Tant de puissance développée par un outils créé par l'Homme. Personnellement ça m'impressione vachement.
Celà dit, après presque trois heures d'utilisation, je peux dresser une liste de petits défauts.
Tout d'abord, c'est vachement haut, et au bout d'un moment, y-en a ras le bol de monter et de descendre de si haut !
Ensuite, le siège est vraiment trop près des pédales, pourtant je suis pas un géant, mais c'est vachement génant pour doser au centimètre l'accélérateur.
De plus, l'angle de braquage et trop faible pour un géant comme le Manitou, ce qui complique beaucoup le bazar quand il faut un peu de précision.
Enfin, le Manitou ne va vraiment pas vite. En effet, au bout de 2h30 d'utilisation, on commence un peu à s'ennuyer sur cet engin, on se prend alors à être flic dans une série télé (je sais, c'est puéril), mais attention, pas Derrick, mais un truc du genre Starsky et Hutch. Et donc pour poursuivre les méchants, on a besoin d'être pied au plancher. Et bah c'est pas avec un Manitou que Starsky et Hutch auraient pu arréter autant de méchants !!!
Enfin, tout ça pour dire que cette journée a été riche en enseignement.

Pour conclure cet article, voulais aussi vous dire que je crois que mon chef ne m'aime pas, je sais pas pourquoi, mais j'hésite à lui ramener des fleurs demain pour retrouver grace à ses yeux.
Par contre, plus ça va et plus mes mains pleurent. J'ai de la saleté plein en dessous des ongles et ma peau est tout desséchée. ARRRRRRRRRRRRRRRG !!!

mercredi, juillet 05, 2006

Pffffffiou !!!

Que la vie est dure avec moi. J'ai vécu tellement de choses durant ces 10 derniers jours que je ne sais pas du tout par où commencer.
Bon, je vais me lancer, sans grande originalité, en narrant ma vie par ordre chronologique.

Donc, la semaine dernière, j'étais chez ma soeur, à Dijon, histoire de passer des vacances. Le terme "vacances" est d'ailleurs un peu abusif car j'ai passer mon temps à préparer le café de ma soeur dès le réveil, à lui apporter son jus de fruit au lit, à la masser, à lui faire des catouilles et autres grat-grat, mais aussi à faire la vaisselle et des cartons pour la déménager. En clair, je n'ai pas eu le temps de beaucoup m'ennuyer. Mais je n'ai pas fait que ça ;je me suis régalé au "petit roi de la lune", j'ai aussi assisté à un cours de Sciences Po (ça peut en impressioner certains, mais en fait, c'est très surfait, pour preuve, j'ai tout compris !!!), j'ai aussi acheté pleins de truc à H&M (pantalon en lain, petite chemise, ....), j'ai aussi monté les marches du festival du film de DSK, j'ai gueulé comme tant d'autres devant les matchs de l'équipe de France de football contre les Espagnols et les Brésiliens. Et puis finalement, il a fallu déménager ma chouchou. D'ailleurs, on dirait pas comme ça, mais ça pèse super lourd une machine à laver...

Une fois rentré dans mon douillet pied-à-terre ballanais, je me suis accordé une bonne nuit de repos avant d'attaquer : le boulot !!!!
Je sais pas quel est le connard (ou la connasse) qui a dit que le travail c'est la santé, mais si je le croise je lui fout mon poing dans la gueule. Idem pour Laurence Parisot ou Nicolas Sarkozy, eux qui veulent nous faire aimer le boulot ; d'ailleurs je me demande si ils ont un jour rangé des tonnes (je ne ment même pas !) de feraille sous un soleil de plomb (35° à l'ombre), ou encore si ils ont un jour passé le Kärcher pendant deux heures de suite dans une combinaison en plastique, et ça sous le même soleil que pour la ferraille. Je ne connais pas personellement ces deux personnages, mais je suis sur qu'après une journée comme ça, ils verraient la réalité des choses et arréteraient de fustiger les ouvriers, les employés, bref les petites gens, et de les accuser de pas bosser. D'ailleurs je pense que tout le monde devrait un jour faire ce genre de boulot à la con, histoire de comprendre les autres, ça fait jamais de mal...
Donc, mon boulot cette semaine consiste principalement à ranger des trucs super lourds, à nettoyer des truc au Kärcher, et à foutre à la poubelle des trucs eux aussi super lourds. Autant vous dire que je m'amuse comme un petit fou.
A force de faire toutes ces saloperies, j'ai des ampoules plein les pieds, mes mains sont toute écorchées et sèches qui plus est, sans compter les courbatures dans tous les muscles de mon corps. Le bonheur en clair. Mais bon, ce boulot, c'est aussi l'occasion pour moi de perdre ma brioche, de me faire les muscles, d'apprendre une nouvelle mode (le bleu de travail bien sur), mais aussi de me servir de plein d'outils bizarre, du genre tronçonneuse, meuleuse, etc... Aujourd'hui j'ai même appris à conduire le chariot de levage (ça a sans doute été les 20 meilleurs minutes de ma journée).
C'est donc un Vincent tout nouveau qui sans naitre de ce mois de travail. Fin : 28 Juillet. Je l'attend avec impatience cette fin, d'autant plus que je fais 42h30 par semaine (donc 7h30 d'heures sup par semaine) et que le SMIC a été réévalué le 1er Juillet !!!!

Autre événement marquant de ces derniers jours, c'est bien sur les résultats de bac. J'ai d'ailleurs eu l'énorme surprise d'avoir mon bac avec la mention bien (15,44 de moyenne général). Je pensais à la rigueur avoir la mention assez bien, mais alors là, je n'y croyais pas. Je n'y croyais tellement pas que j'avais fait un pari stupide avec ma soeur : en cas de mention bien, elle m'épile le torse. Je vais donc devoir m'acquitter de ma dette ce week-end, la cire est déjà dans la salle de bain. Remarquez, je m'en tire plutot bien parce que si j'avais eu très bien comme mention, l'épilation aurai aussi concerné les jambes. Ceux qui me connaissent auraient pu avoir mal pour moi. Dieu merci, mes jambes sont épargnées.

Enfin, j'ai pris ma décision pour mon orientation. L'école choisi est donc l'ESITC de Caen. Mes grand-parents qui habitent tout près du Havre seront sans doute ravis de me voir débarquer chez eux le week-end avec du linge sale. Mais le plus heureux de tous sera sans doute mon cousin (qui habite lui aussi dans le coin) à qui j'ai promis de le sortir de temps en temps. En clair, certains week-end ne vont pas être de tout repos l'année prochaine. Mais ce qui compte, c'est quand même de bosser : je suis parti pour au moins cinq ans de plus...



Bon, vous avez pu rattraper le retard de ma vie et de ce qui m'est arrivé ces derniers temps. J'espère pouvoir revenir ici très vite, mais comme je débauche à 17h30, je ne suis jamais rentré et douché avant 18h30. Et avec la fatigue, c'est pas top d'écrire, mais bon, je vais faire des efforts.
Allez, bizoo à tous.