Tagazok à toi mon frère !

Paix et guérison sur ton peuple, voyageur de l'internet. Tu peux toujours t'arréter ici quelques minutes, tu es le bienvenue !

mercredi, février 13, 2008

Pulsions...

Salut à tous !

Désolé d'avoir mit autant de temps à revenir poster sur ce blog, mais j'ai été pas mal occupé durant ces dernières semaines. Un mois de Janvier entièrement consacré aux révisions pour les partiels, forcement, ça laisse peu de temps pour mes digressions bloguesque. En fait, ça ne fait que deux semaines que j'ai fini mes partiels. Mais vous savez ce que c'est, après une grosse période de boulot, on a besoin de ne rien faire pendant un certains temps. Il m'a fallu deux semaines donc. Ce n'est pourtant pas les sujets qui auraient manqué, mais j'avais une profonde envie de rester dans mon lit, allongé, à regarder des films. Mais maintenant, c'est bel et bien terminé cette période, je suis de nouveau d'attaque, et près à vous raconter tout ce qui me passe par la tête, que ça vous intéresse ou non.

J'ai de drôles de pulsions en ce moment.
Je sais pas comment ça m'est venu, mais depuis jeudi dernier, je suis assailli de toutes parts par des pulsions plus ou moins incontrôlables.
La première d'entre elles, qui est sans doute la moins étonnante venant de moi, c'est que j'ai envie de manger comme une grosse vache. Mais attention, pas n'importe quoi. Mon appétit se réveille soudain pour des trucs du genre pizza, raclette, hamburger, crêpes, tartiflette, ou encore un aïoli de ma mamie. Comme vous le voyez, que des trucs diététiques et sans aucune influence sur ma ceinture abdominale qui n'a pas franchement besoin de ça. Je sais pas si c'est la saison hivernale qui veut ça (bah oui, on a toujours envie de trucs bien lourds en hiver) ou si c'est une envie de douceur, ou un manque à combler ; mais toujours est-il que j'en meurs d'envie. Hélas pour moi, ma mamie se trouve à près de 1000 bornes de chez moi, je n'ai pas d'appareil à raclette ni de plat à tartiflette, et pas assez d'argent pour m'acheter le Quick qui vient de s'installer près de chez moi (et qui est nettement mieux que le Mc Do). Bref, je ne suis pas près de satisfaire mes pulsions, ce qui n'est pas plus mal du point de vue de ma ligne. Il existe pourtant une pulsion alimentaire à laquelle je n'ai pas pu, ou pas su, résister : l'envie de chocolat ! En effet, comme tout vrai Zuber qui se respecte, j'adore le chocolat, et ça sous toutes ses formes : en gâteau (de préférence le gâteau "au chocolat au chocolat" de ma maman, avec des raisins sec et des amandes, ainsi que de la pâte d'amande en déco), en biscuit, en chocolat chaud, en Nutella, en même tout simplement, en tablette (de préférence noir). Et là, que mon taux de cholestérol me pardonne, mais je n'ai pas pu résister. Durant mes dernières grandes courses, je me suis acheté plusieurs tablettes de chocolat. En l'espace d'une seule soirée, j'en ai mangé deux, tranquillement, dans mon lit, devant un bon film. Comme c'était bon, je vous raconte pas... Mais cette bâfrée de chocolat n'a pas suffit, si bien que lundi, je suis allé exprès au carrouf pour m'acheter des Twix (quand on pense que ça c'est un jour appelé Raider, ça fait sourire, vous trouvez pas ?), et surtout, ma barre chocolatée préférée : des Mars ! Putain que c'est bon ! J'ai bien du m'en manger quatre à la suite tellement c'était le pied. Depuis ça, je sens que ma pulsion pour la bouffe en général, et pour le chocolat en particulier, s'est un peu calmée. Mais pour combien de temps encore ? Je pense qu'il est grand temps que je m'accorde un séjour gastronomique d'une semaine chez qui voudra bien m'accueillir, car un Zuber, il vaut mieux l'avoir en photo qu'à table...

Autre truc étrange, j'ai une furieuse envie de fumer en buvant du thé. Vous me direz que la deuxième chose n'est pas si grave que ça, mais en ce qui concerne la première, c'est franchement plus problématique. Pour ça, j'ai quand même une explication. Pendant les partiels, j'ai pas arrêté d'enchaîner clope sur clope machinalement, le tout agrémenté de mugs de café bien noir, afin de me forcer à bosser. Je crois que j'en été arrivé à un point de saturation au niveau du café-clope, si bien que je n'appréciais plus ni l'un, ni l'autre (mes paquets de 40 grammes se finissaient en une semaine, alors qu'ils me font en général un mois). Mais maintenant que la période de la "clope boulot" est passée, je suis rentré en phase de "clope plaisir", car oui, fumer pour moi est un vrai plaisir. Ceci pourrait être une bonne chose si l'impact sur les poumons n'était pas tout autant ravageur. De plus, cette pulsion est d'autant plus traître qu'elle est facile à assouvir du fait que je suis "accro" à la cigarette, et que donc, acheter du tabac me semble tout à fait normal. Là où ça coince, c'est que le rayon thé de carrouf à Caen est absolument minable, et que les réserves de thé, que j'ai honteusement piqué chez moi (merci encore maman) commence sacrément à flancher. Bref, je ne sais pas comment faire. Alors en attendant, je fume en buvant du thé.

Une autre pulsion du moment, qui est sans doute la plus étrange, c'est que j'ai envie de faire du sport. Oui oui, vous avez bien lu : moi, j'ai envie de faire du sport. Je sais pas pourquoi ; c'est peut-être le tournoi des six nations qui me fait cette effet là, ou encore le fait que pour me donner bonne conscience après m'être gavé de chocolat, il faut que j'aille courir, faire de la muscu ou encore du rugby. En attendant de trouver une explication, bah je cours : déjà trois courses en l'espace de cinq jours (un record pour moi !), je soulève des poids, et je me la donne à fond au rugby (je ne compte plus les marques de crampon sur mes jambes). Je me suis même inscrit aux ovalies, un tournoi de rugby universitaire national qui se passe à Beauvais en Avril. Vous me direz que c'est pas grave comme genre de pulsion, je suis d'accord avec vous, mais ça n'empêche que c'est quand même étrange venant de moi. J'ai même envie d'aller nager. Etonnant, non ?

J'ai aussi une folle envie de prendre ma voiture, de rouler au hasard des routes, dans la nuit, en écoutant l'intégrale de Supertramp, ou encore du Alan Parson Project et du Mike Oldfield. De m'arrêter sur l'autoroute faire le plein, en écoutant les voitures passer à toute vitesse et regarder leurs phares s'éloigner aussi vite qu'ils sont apparus. Prendre un café foireux sur une aire d'autoroute en fumant une clope et en regardant les routiers aller et venir, se raser à 7 heures du matin. J'ai toujours aimé ça, je tiens ça de ma petite enfance (je me souviendrai toujours de la R25 et de la musique de mon poupoute), et j'en ai envie en ce moment...

J'ai aussi envie de rentrer chez moi : voir des amis que je n'ai plus vu depuis longtemps, de prendre un brunch avec mes parents, mon frangin et ma frangine. De regarder un grand prix de F1 avec mon poupoute, aider ma maman à préparer à manger un samedi soir. De chambrer mon grand con de frangin et de taquiner ma soeur. J'ai envie de d'aller flâner dans le vieux Tours avec ma fratrie, de me poser au Hamac avec eux, dans des fauteuils moelleux, avec un bon cocktail sur un fond de musique entraînant. Bref, ma famille me manque. Pas seulement ma famille proche, mais aussi mes grand-parents et mes cousins et tonton et tata. Bref, j'ai envie de revoir ma famille que j'aime...

Voilà, il m'arrive des trucs un peu bizarres, des envies qui sont plus ou moins étrange venant de moi. Je fais avec, et essayer d'en satisfaire un maximum, dans la limite du raisonnable bien sur !

Allez, je vous laisse, et je vous promets de ne pas tarder à revenir sur ce blog.

vendredi, janvier 04, 2008

Pouf !

Salut tout le monde ! Comment allez vous en cette nouvelle année 2008 ?
Et oui, nous sommes déjà en 2008. C'est dingue de voir à quel point le temps passe vite ; j'arrive à peine à réaliser que je vais fêter mes 20 ans cette année, gros coup de cafard. J'ai encore des souvenirs de ma rentrée au CP, alors vous imaginez sans aucun mal comment ça me fait drôle de pensez que je vais sur mes 20 ans.
2008 est donc arrivée sans crier gare (sans doute à cause des grèves SNCF de Décembre...), et même si pour marquer le coup on a passer une nuit blanche le 31 Décembre, on est toujours surpris de la simplicité avec laquelle cette nouvelle année nous tombe dessus.
Et encore, si il n'y avait que les années qui pouvaient nous tomber sur le coin de la gueule comme ça, sans prendre la peine de prévenir, ça ne serait qu'un moindre mal. C'est vrai, pensez un peu au nombre impressionant de choses qui vous arrivent d'un coup, POUF, comme si d'un coup le monde entier c'était arrêté pour bien vous faire prendre conscience de l'océan de merde, ou de joie, dans lequel on vient de vous foutre la tête la première, sans le moindre ménagement, et ce au mépris total des régles de sécurité pour éviter l'hydrocution !
Alors, que faire quand on tombe dans ce genre d'océan ? L'amour, le chagrin, un décès, un coup de déprime, croiser un vieil ami par hasard, etc... Tout ça peut nous tomber dessus à n'importe quel moment, mais que faire pour garder la tête hors de l'eau ?
Ma recette magique, je vous la livre en exclusivité pour fêter cette nouvelle année, c'est un peu le conseil de Sioux de l'année.
Premièrement, saisissez-vous d'un ou de plusieurs paquets de clopes, ainsi que d'un briquet qui ne risque pas de vous lacher.
deuxièmement, chercher des vos range-CDs ou votre disque dur, les chansons les plus tristes, ou les plus joyeuses que vous connaissiez.
A partir de là, deux chemins s'offrent à vous.
Si vous êtes dans un océan de merde, apprenez à vous enfoncer un peu plus, ainsi, votre remonté à la surface ne pourra que vous paraitre plus impressionante, et donc meilleure. Restez donc cloitrés chez vous, assis dans votre lit, le cendrier à coté, et la musique la plus triste possible en fond sonore (une bouteille de vodka ou autre peut parfois vous aider). Restez comme une loque comme ça pendant quelques heures, jusqu'à vous endormir, attention cependant à ne pas vous endormir la tête dans le cendrier. En vous réveillant le lendemain matin, mettez la musique la plus entrainante que vous avez, courrez sous la douche, et après ça, sortez de chez vous pendant un petit moment. Après ça, vous remonterez à la surface.
Si vous êtes dans un océan de joie, apprenez à y rester le plus longtemps possible (c'est tellement rare). Passez au supermarché le plus proche de votre domicile, achetez de quoi boire et manger pour toutes la nuit, appelez un maximum de vos potes (qui partagent le même état d'euphorie que vous), ramenez les chez vous, mettez la musique à fond, et lachez tout : sautez, buvez, fumez, mangez, riez, c'est tellement bon. Il y a aussi possibilité de sortir en ville, de bramer des chansons à boire, de s'arrêter au Mc Do le plus proche à 5h du matin en rentrant chez soi. Et après toutes ces émotions, une petite nuit. Le lendemain, le combo musique douce-douche-brossage de dent est par contre plus que nécessaire.
Après, ça, POUF, vous voilà de retour à la vie "normale", jusqu'à ce qu'un autre truc vous retombe sur la gueule, de bon ou de mauvais. Après tout, celà n'a guère d'importance, car ce genre de choses vont souvent par paires. De même que les "-" attirent les "+", et vice versa, les bonnes choses attirent les mauvaises, et vice versa. Alors pas d'inquiétude, quelque chose de bon nous attend toujours. Il n'y a qu'à espérer qu'il nous tombe dessus, et vite !

jeudi, décembre 06, 2007

Alors, tu deviens quoi ?

Cette question, je me la suis posé au moins une bonne centaine de fois depuis que je suis parti de Tours pour faire mes étude à Caen.
Je me la pose en revoyant certains amis par hasard dans le vieux Tours, ou alors en regardant sur la liste de mes contacts MSN. J'ai parfois des regrets en pensant à eux. Je ne peux pas m'empêcher de penser à tous ceux que j'aimerai voir et que je ne reverrai sans doute jamais. Mais en même temps, je pense aussi à ceux que je rêvais de ne jamais revoir et que je croise parfois en ville. Pourtant, à chaque fois, c'est la même question qui revient : tu deviens quoi ?
Pour certains, j'ai la réponse. Je sais qu'il se plaise (ou pas) dans ce qu'il font, et qu'il vont continuer et réussir. Et dans dix ans ? Est-ce que ce sera la même chose ? Se plairont-ils toujours autant dans ce qu'ils font ? Seront-ils toujours dans la même branche ? Les reverrais-je seulement ?

Il m'arrive aussi de me poser cette question. Dans dix ans, à quoi je pourrai bien ressembler ? Certes, comme disais Forrest Gump à Jenny, ne serai-je toujours pas moi ? Peut-être bien que je serai une autre sorte de moi. Mais quoi ?
Je sais que je me plais profondément dans ce que je fais en ce moment. Le BTP est comme une révélation qui s'est imposée à moi depuis que j'ai franchi pour la première fois le pont de Tancarville. Pourtant, je sais que bon nombre d'amours s'effacent avec le temps. Peut-être que moi aussi, ça va me passer. Alors à quoi bon continuer ?
Certes, si je vais par là, je ne ferai jamais rien de ma vie, j'irai de droite à gauche, sans jamais me décider, et je finirai comme Tanguy. C'est vraiment loin d'être ce que je veux devenir.
Cette drôle de question vient sans doute du fait qu'il me reste encore au moins trois ans d'études, et que mine de rien, c'est long ; et pourtant, Dieu sait que j'aime la vie étudiante.
Je ne veux pas rester "prisonnier" de ce que j'ai fait, ou de ce que j'ai aimé ; je veux pouvoir être libre de passer à autre chose quand ça ne me plait plus. Mais comment ? Dans une société où on est de plus en plus rangé dans des petites boites (je vous ai déjà parlé de ma haine envers ça) j'ai peur que ça devienne de plus en plus dur.

Alors, dans dix ans, telle que je me projette dans l'avenir, j'aurai mon diplôme d'ingénieur BTP depuis six ans. Je reviendrai tout juste de mon expatriation de quatre ans pour un chantier dans une grosse boite de BTP internationale. Sans doute resterai-je un ou deux ans dans la même boite, le temps de prendre de l'expérience en France. Nous voilà donc dans dix ans. A partir de là, le projet qui est en train de mûrir dans ma tête, c'est de reprendre mes études pour tenter un master Sciences-Po en ressources humaines, dans le cadre de la formation professionnelle, pour éviter justement de me retrouver enfermé dans une petite boite. Après ça, je me vois bien faire encore deux ans dans une grosse boite, après quoi je m'orienterai vers une entreprise plus petite, mais dans laquelle j'aurai un poste plus varié. J'y resterai sans doute une petite dizaine d'année, le temps de voir un peu toutes les facettes du métier, après quoi, vers quarante ans, je fonderai ma propre entreprise, ou alors, j'en reprendrai une, je n'ai pas encore d'avis tranché sur la question. Mais bon sang, c'est foutrement loin tout ça ! D'ici là, il peut se passer un sacré paquet de choses.

C'est ça qui est bon avec l'avenir, c'est qu'on ne sait jamais ce qu'il nous réserve. C'est cette peur permanente qui nous habite tous, qui nous conduit à nous demander en permanence ce que les autres deviennent, ce qu'on devient nous même. C'est pour nous rassurer, pour trouver des exemples, pour nous prouver quelque chose. Peut-être aussi pour éviter de se rendre compte dans dix ans, qu'on n'est plus ce dont on rêvait de devenir, que quelque part en route, on s'est perdu, qu'aux grands carrefour de notre vie, on s'est égaré sur le mauvais chemin.
Certes, dans ces conditions, rien n'est perdu ; on peut toujours faire demi-tour, mais que de temps perdu.

J'ai peur que ça m'arrive. J'ai peur que dans dix ou vingt ans, je me rende compte que je me suis trahi en route, que je ne sois pas celui que j'aurai aimé être. Alors faites gaffe à moi, et à vous aussi !

dimanche, novembre 25, 2007

J - 1 mois !

Vous avez senti ce parfum vous aussi ?
Mais si, vous avez bien remarqué quand même : ces trucs bizarres qui commencent à remplacer les feuilles sur les arbres, les nouveaux lampadaires qu'on accroche dans les rues, ces pubs de parfums, de vêtements et de chocolats qui s'affichent aux quatre coins des villes, sans oublier la réclame télévisée qui s'adresse à nos chers minus, et qui rend leurs aînés jaloux (oué, d'abord que si j'étais un gosse aujourd'hui, et bah je serais trop content parce que leurs jouets sont mieux que ceux de mon époque, enfin bon).
Vous avez donc deviné de quoi je parle : Noël ! Cette ambiance ne va commencer à s'étendre et à s'imposer à tous d'ici quelques jours, le 1er Décembre. A ce moment là, les calendriers de l'avant vont repousser partout dans les maisons, les génocides de sapins vont reprendre, et les rois mages vont devoir retourner à la banque pour retirer quelques menues richesses de leurs coffres. Heureusement, la grève SNCF est maintenant derrière nous, le trafic du fret va pouvoir reprendre, et les lutins (qui ont frisé le chômage technique) vont pouvoir se mettre au boulot avec l'arrivée des matières première.

Mais bon, Noël c'est aussi la galère.
Et oui, que celui qui n'a jamais galéré pour trouver une idée de cadeau me jette la première pierre. Je sais que tous les ans, je me creuse la cervelle (parfois en vain) pour faire des cadeaux à ma famille ; et je me doute que de leur coté, ça doit être la même chose.
Heureusement pour eux, cette année, j'ai décidé de m'organiser, et de noter au fur et à mesure toutes les idées de cadeaux que je pouvais faire, et qu'on pouvait me faire.
Ce message s'adresse donc à toutes les personnes qui risquent de passer sur ce blog et qui vont passer le 25 Décembre avec moi : si vous avez des idées des cadeaux, n'hésitez surtout pas une seconde à me les transmettre, de façon à ne pas être prit au dépourvu.
En ce qui me concerne, je vous transmets mes réflexions à ce sujet, si vous voulez me régaler à Noël :

  • un narguilé (de taille moyenne, les petits laissent un goût de charbon assez désagréable, et les narguilés géants sont trop encombrant)
  • un ballon de rugby taille 5
  • un plastron de rugby (je sais que mes grands-parents sont assez inquiet du fait que je joue en 3ème ligne, peut-être que des protections les rassureraient et éviteraient de me casser une clavicule un jour)
  • deux haltères à mains avec des poids pour une vingtaine de kilos (je pensais pas demander ça un jour à Noël, mais la concurrence en 3ème ligne dans le 15 de l'ESITC est telle que je dois être au top !)
  • des enceintes pour mon PC qui puissent se brancher sur ma prise "jack" (afin que je puisse enfin regarder des films dans mon pieu sans avoir à tendre l'oreille)
  • de l'argent (un grand classique pas très original, mais dont on trouve toujours l'utilité en Janvier durant la période des soldes)


Voilà un petit tour d'horizon de mes envies. Avant de conclure, je voulais vous dire que des cadeaux pour meubler mon appartement peuvent être repousser à l'année prochaine car je vais quitter cet appart' pour me mettre en colloc' l'année prochaine, à ce moment là peut-être qu'il sera bon d'investir, mais là ça ne vaut pas trop le coup. Je tenais aussi à vous dire que j'adore les surprises, si quelqu'un pense à autre chose, qu'il fonce.
Voilà, afin de vous laisser, je vous rappelle (à toute ma famille) de ne pas hésiter à me transmettre vos idées de cadeaux, et surtout que je vous aime très fort, et qu'il me tarde d'être dans un mois !!!

mardi, novembre 06, 2007

Top 10

Attention, tremblez, voici le top 10 de mes insultes insolites. Je laisse à votre appréciation d'établir un classement.

  • Peigne-cul : insulte couramment utilisée sur la route, ou en parlant de mon frère.
  • P'tit enculé : insulte plutôt affectueuse, elle me vient de mes quatre semaines de stage ouvrier.
  • Bouzeux : insulte utilisée quasi-exculsivement sur la route, notamment dans le département de l'Orne, de la Sarthe, et plus généralement dans tous les départements hors Indre et Loire, région Parisienne, haute Normandie, Nord, Pas-de-Calais et Calvados.
  • Pinpin : insulte plutôt gentille quand elle est employée pour quelqu'un qu'on connait.
  • Pousse-crotte : insulte très souvent utilisé pour critiquer les personnes parlant pour ne rien dire.
  • Damien : insulte quasi-suprême, particulièrement utile pour accabler les incapables en tout genre (femmes, vieux, Sarthois, ou même mon frangin).
  • Chie-culotte : insulte glanée sur les chantiers cet été, tout le monde aura compris qu'elle sert à dénoncer les jeunes incapables de se sortir les doigts du cul.
  • Enfoiré : insulte qui a perdu de son sens depuis que Coluche l'a élevé au rang de titre honorifique.
  • Salaud : insulte classique mais toujours efficace, notamment quand quelqu'un prend ma place dans une file d'attente.
  • Breton : rien que pire ne pourrait vous arriver venant de ma part si je vous traite de Breton ; c'est un peu un concentré des neufs insultes précédentes.

Voilà un petit tour d'horizon de mes insultes, j'espère qu'à défaut de rafinement, il aura au moins eu le mérite de vous faire sourire, c'est déjà ça.

Bonne journée à vous tous !

vendredi, octobre 19, 2007

Bordel de merde !

ZuZu, prisonnier N°18753



Salut à tous. Me revoilà de nouveau sur mon blog, et ce alors que j'ai posté il n'y a pas si longtemps. Mais ma venu n'est pas le fruit du hasard, mais bien des circonstances.
J'ai une sainte horreur d'être assimilé à un groupe, quel qu'il soit (jeunes, casseur, etc...), surtout quand cette assimilation se fait de manière totalement subjective.
Pourquoi cette réflexion me direz vous ? C'est très simple, et je vais vous en décrire la raison.
Mon école s'est lancée depuis quelques années dans une vaste politique d'agrandissement des effectifs. Bien sur, celà suppose quelques contraintes logistiques ; notamment prévoir des salles de cours en nombre suffisant (même si pour celà on doit utiliser des préfabriqués), mais aussi l'organisation du sport, obligatoire ans mon établissement. Or, cette année, les effectifs sont tellement nombreux que l'organisation a changé du tout au tout, ce qui a conduit à de nombreuses questions, tant les explications fournies par les "notes internes" étaient peux claires. Pendant trois semaines, nous avons, au sein de ma classe, essayer d'obtenir ces explications en utilisant les canaux de communication de l'école, sans résultats. Si bien que n'ayant pas eu de réponses, tout le monde a commencer à gueuler un bon coup.
Si bien qu'aujourd'hui, notre directeur adjoint (responsable de l'organisation des sports dans l'école) est venu nous rencontrer. Il n'a pas fallu plus de 5 minutes pour qu'on se fasse tous traités "d'irresponsables", "d'inconscients", et même de "gamins". C'est quand même un comble de se voir affublé de tous ces petits noms alors que dans l'histoire, tout part d'un manque de communication et de clarté dans les propos utilisés par ce brave homme dans sa note. Je n'ai pas l'impression d'être un gamin ou un irresponsable quand je cherche à avoir des explications. Mais le pire dans tout ça, c'est que cet homme n'a même pas daigné écouter nos questions, qu'il a traité la plupart du temps avec dédain, ou en nous englobant tous dans une autre catégorie encore plus charmante que celles citées précédement. Bref, un remontage de bretelles collectif pour rien, puisque personne n'en avait ! De plus, cet homme vient de se couper totalement le dialogue qu'il pourrait avoir avec les élèves. Bref, du beau travail.
Ces séances de flagellation, c'est vraiment ma hantise, surtout quand l'interlocuteur est sourd, muet, et incapable de la moindre remise en question.
J'ai beau savoir que le monde est bâti de la sorte qu'il y ait des dirigeants et des dirigés, je pense quand même que ça ne doit pas empêcher l'intelligence.
PS : comme vous avez pu le voir en début d'article, voilà ma nouvelle tête. Bizarrement je m'y fait bien !

mercredi, octobre 17, 2007

Enfin !

Bonjour à tous.
C'est dingue à quel point les coups de tête peuvent faire du bien. Je ne vous parle pas des coups de boule qu'on a parfois envie de balancer à la tronche de certaines personnes, non, ça en général j'évite, même si je suis sûr qu'effectivement ça doit faire du bien. En fait, je vous parle des pulsions qu'on peut avoir de temps en temps.
Figurez vous que j'habite depuis un an à Caen, et que je n'étais jamais allé voir la mer. Pour vous situer un peu, la plage la plus proche de chez moi se situe à seulement une vingtaine de kilomètres ; et pourtant, je n'avais jamais franchie le pas. Pourquoi me direz vous, c'est très simple, on trouve toujours de bonnes excuses pour ne pas faire ce qu'on voudrait : trop de boulot, le mauvais temps, le manque de temps, du ménage à faire. Bref, que de bons arguments, mais qui à force de s'imposer à nous, finisse par nous bouffer la vie.
Autant je suis quelqu'un d'assez réfléchit en général, autant j'aime bien les sursauts (aussi petits soient-ils) dans le confort de ma routine. Pourtant, mon sérieux a tendance à prendre le dessus sur l'autre partie de ma personnalité, et c'est comme ça que j'en suis arrivé à ne pas voir la mer.
Mais cet après-midi, ça a changé. N'ayant plus cours à partir de midi, j'en ai profité pour faire un petit brin de sieste, mais aussi refaire un parcours en topographie (très chiant !), ce qui a duré jusqu'à 17h45. Après ça, j'aurai dû me mettre à travailler ma RDM en vue du test qui m'attend lundi matin, mais le ciel était dégagé, la brise était bien fraiche, et je n'avais toujours pas vue la mer. J'ai donc sauté sur l'occasion et dans ma voiture, direction la côte la plus proche.
Au bout de seulement 15 minutes, j'étais sur place. La mer était calme, c'était marée basse, et le soleil se couchait. Je suis resté près d'une heure à flaner sur la plage, à regarder les mouettes se battre pour bouffer des crabes, à observer un peu la côte Normande, à écrire des conneries sur le sable. Bref, tout ce que tout le monde fait quand il va à la mer pour une petite promenade. Je sais, c'est archi-con, et pourtant, j'ai adoré ! En retournant à ma voiture, j'ai longé toute la digue, j'en ai profité pour regarder les cartes des restaurants (ce qui m'a ouvert l'apétit), observer les maisons sur le bord de mer (très bourgeoises et dans un style "Anglais"), j'en ai pris plein les mirettes.
En remontant dans ma voiture, j'ai pu apprécier la chaleur qui contrastait avec le vent à l'extérieur, mais aussi les quelques kilomètres pour rentrer chez moi, en ayant à l'esprit un peu sourire.
Un coup de tête sans conséquence, mais tellement jouïssif.
Un coup de tête qui a eu des conséquences en revanche, c'est le contrat que j'avais signer l'année dernière (bon, c'est vrai, j'étais un peu bourré), qui prévoyait la fin de mes cheveux. Hier soir, grande cérémonie chez mon Breton adoré avec qui j'avais signé le fameux contrat, et qui m'a donc passé à la tondeuse, et achevé au rasoir.
La première sensation ce matin au réveil, c'est qu'il faisait vachement froid !